Vous imaginez bien, madame Perreault, que maintenant âgée de 80 ans, j’ai été pendant toute mon enfance et une grande partie de mon adolescence la victime des « habits du dimanche ». D’autant plus péniblement que ma mère avait l’ambition de briller parmi les familles de l’élite paroissiale, une paroisse en très grande majorité peuplée de familles ouvrières modestes.
Bref, je suis depuis lors allergiques aux riches vêtements, qu’ils soient beaux ou laids.
Heureusement, de ce point de vue et uniquement de celui-ci, les dimanches n’existent plus.
Par : Andrée Ferretti
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